Et je ne regrette pas du tout. Dès le top départ de la consultation, j’ai senti une rayonnement. Elle avait une voix régulée, posée, et notamment, elle allait droit au visée. Elle m’a parlé de ma frayeur de l’abandon, de mes blessures enseignées, de mon manque aimée par ses clients. Elle m’a également formulé que je me mettais trop de pression, que je voulais que tout soit adéquat, mais que c’était ça qui m’empêchait d’avancer. Elle a vu que j’étais dans un instant de transition, que je sentais au fond de une personne qu’il fallait se modifier fins, mais que je n’osais pas. Elle m’a parlé d’un conception perso qui allait proférer, d’une confidence rendez-vous plus alignée avec un individu, et d’une période de libération éventuelle. Tout ce qu’elle disait résonnait fort. J’ai raccroché avec les larmes aux yeux, mais de quelques larmes d'apaisement. C’est par exemple si une personne m’avait pour finir offert le droit d’être moi-même, avec mes failles, mes sensualités, mes souhaits. Cette séance m’a redonné haut niveau. J’ai compris que j’avais le droit de se voir en un personnage, même si je ne suis pas impécable.

J’en ai parlé à une copain au salon, qui elle également traversait un instant compliquée. Elle a testé la voyance, mais en cabinet cette fois, à chappes même. Elle en est sortie toute chamboulée, mais soulagée. Comme quoi, chacun a ce qui lui engagent. Ce que j’aime, c’est qu’on pourrait opter la matière qui nous parle le plus : visuellement, au téléphone, ou même par message. Ce qui compte, cela vient de se sentir en confiance. Et à bordeaux, on a la chance d’avoir des voyantes fatal, pas des charlatans notamment il nous est permis saisir à la tv. Maintenant, quand une copine me dit qu’elle est perdue ou qu’elle hésite sur un choix de journée, je lui dis : voyance olivier ' Essaie la voyance, tu verras, ça peut véritablement t’éclairer. ' Et la plupart du temps, elles me remercient. Parce que parfois, ce qu’il nous est nécessaire de faire, c’est sérieuse un son qui nous guide un peu quand tout est évasif.